La fin des signalements de la police sur Waze, coyote et tomtom ?

La fin des signalements de la police sur Waze, coyote et tomtom ?

La fin des signalements de la police sur Waze, coyote et tomtom



L’alcoolémie, les stupéfiants et les barrages visés


En effet, les contrôles de vitesse et les radars fixes peuvent toujours être signalés par les utilisateurs, alors que les contrôles pour l’alcoolémie ou les stupéfiants ainsi que les barrages de police lors des alertes enlèvement ou terroriste ne peuvent eux plus l’être dans certaines circonstances bien précises là encore. En effet, cette décision parue dans le Journal Officiel n’est pas une loi, c’est un simple décret, à ce titre elle donne simplement le droit aux préfets de l’appliquer, ou non.

De quoi rendre cette décision encore plus illisible pour les utilisateurs.
De plus, il sera très difficile à ces différents logiciels de faire la différence en très un contrôle de vitesse et un contrôle d’alcoolémie .
Sans oublier qu il sera toujours possible aux usagers de Waze par exemple , de remplacer le signalement d’u contrôle routier par un danger d un élément sur la chaussée par exemple.

Ce qui rendra cette interdiction encore plus compliquée à appliquer.
Pour bien comprendre, les préfets de chaque département peuvent demander pendant un temps et sur une zone donnée, la suspension e ces alertes, afin de faciliter le travail des forces de l’ordre.

L’objectif du retrait de ces alertes est d’empêcher les personnes en infraction, ou recherchées de connaitre l’emplacement de la police. Mais le décret, négocié point par point avec les cinq applications fixent quelques limites à cette règle. En effet, si les alertes peuvent être supprimées elles le seront seulement pendant 2 heures pour des contrôles routiers et 12 heures pour des opérations de barrage.


Enfin, dernière spécificité, les alertes ne peuvent être visibles que sur une certaines zones géographiques : deux kilomètres pour les contrôles en ville, et dix dans les zones rurales. Afin de complexifier un système qui l’était déjà bien assez, les autoroutes et les routes nationales ne sont pas prises en compte par le décret.



Un texte pas très précis



Si la mise en place d’un tel décret est toujours prévue pour le 1er novembre, difficile de savoir si tous les acteurs seront prêts dans un mois et demi pour un tel changement. En effet, de nombreux détails ne sont pas encore réglés. Il est par exemple impossible de signaler un accident ou un bouchon dans la zone où un contrôle de police est en cours. Un vrai problème pour la sécurité routière des usagers….


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